La banque de l’Europe qui se charge de nos affaires en lieu et place de la nôtre, de quoi je me mêle, décide de remonter son taux directeur.
Boum, d’un coup d’un seul, le taux de crédit passe à 1,50 %.
Ce qui expulsera nombre de candidats à l’habitat puisque semble-t-il celui de l’usure n’a pas été encore relevé puisqu’il sera réexaminé sur octobre.
Et cela touche tous les produits achetés à crédit hors le truchement des loyers, suivez mon regard sur les vendeurs automobile.
Par cet acte de bravoure, la Bce, pour ne pas la nommer, entend réduire la consommation pour réduire l’inflation galopante.
Ce qui réduit la possibilité de réussite du plan du réélu qui reposait sur la défense du pouvoir d’achat en permettant d’acheter à prix bas.
Mais, si l’inflation baisse, les particuliers vont se ruer sur les prix en baisse ; et la boucle sera bouclée pour ne pas sortir de ce cirque infernal.
Pourtant, si l’on acceptait de prendre d’autres bases plus en phase avec nos temps si modernes, peut-être que les choses iront mieux.
Mais, bien sûr, il faudrait accepter de se retirer du jeu capitalistique ce qui ruinerait nos milliardaires et hommes du pouvoir.
Mais, bien sûr, les braves gens, ceux qui n’ont pas grand-chose, si ce n’est encore leur possibilité de dire leur préférence, n’auront pas droit au ruissellement salutaire promis.
Il tarde à venir mais puisque le réélu l’a dit… Mais, deux autres points informatifs seraient dommage à écarter.
Le premier est celui d’un gars dont l’élection a été invalidée qui recommence à vouloir réclamer sa validation.
Pourtant, les tenants du jugements aboutissent à l’obligation d’une nouvelle élection pour être avant de paraître ; c’est clair.
Le dernier, pas moins important, est la (r)mise en examen d’un gars qui ne joue plus au foot.
Mais qui en qualité de chef du beau du ballon à faire tomber les têtes, jouait à lever les filles dès qu’elles passaient à portée de tir.
Çà n’a pas plus.
Heureusement qu’il y a le décès à vivre en directe d’une ancienne royauté pour éclipser tout cela.