Ce n’est pas permis

La Seine Saint Denis, celle qui se trouve en Île de France, près de la capitale où nombre de citoyens on trouver dans leur tiroir les bons euros pour restaurer un monument cramé, a le triste privilège d’être le n° des non détenteurs du permis de conduire.

Ce score a été établi sur ceux qui conduisent un véhicule, notamment à 4 roues, sans permis valide et carrément sans permis du tout.

Ce n’est pas permis, mais ces gens-là s’y autorisent.

L’excuse, vrai pour certain, est l’absence de quelques centaines d’Euros dans leur tiroir tant il est vrai que ce département ne dépareille pas dans le décor de la pauvreté bien entretenu par les nantis.

Mais il y a d’autres compétition telle que celle du trafic de drogue sur tous les marchés créés dans chaque quartier, chaque cité.

Mais il y a aussi la violence, la peur, et donc la haine de l’autre.

Certains sont pris la main dans le sac, sur le mouvement de trop, sur l’acte invraisemblable de jeunes, mais aussi d’adultes, même si trop souvent ils sont jeunes aussi.

Et c’est ainsi que deux idiots d’abrutis se sont vu donner le permis de rendre stage dans une association Lgbt+ en plus des dommages et intérêts, certes faibles mais le message est lancé : pas de permis, c’est la prison, gestes, paroles homophobes c’est aussi la peine de voir en grand ce que l’on ne veut pas voir chez soi.

Ces deux la s’en souviendront longtemps de leur position ridicule de ne pas laisser l’autre vivre sa vie normalement.

La normalité n’est pas que de faire le guet dans un fauteuil garni de quartier pour permettre la vente à la (non) dérobée de produits interdits.

La normalité n’est pas de faire du stock-car sans permis pour enlever la vie.

Même si les caïds de quartier d’escalier d’immeuble vous pourrissent la vie à vous faire croire le contraire.

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