Ce ne sont que des mots

Le type a fait, qu’il dit, du « made in France » son leitmotiv. Et, désormais, il déclare la « remontada ».

A tel point qu’il en a fait son site pour sa candidature suprême.

Pourtant, pour celui qui veut remettre à flot la France, n’aurait-il pas été préférable d’employer d’autres termes ? Comme, juste pour l’exemple : « Fait en France » ou encore : « Remontée » française s’entend.

A moins qu’il ne veuille aller à la pêche de ces français exportés pour de bonnes raisons travailleuses ou moins bonnes fiscales.

Mais, c’est au risque, certainement chois, de ne pas se faire entendre à l’intérieur des terres et au-delà des îles françaises.

Ceci dit, si l’on écarte les mots maladroits pouvant donner des maux, inutile de se prendre la tête pour dire que l’idée est bonne, voire excellente.

Pourtant, il ne semble pas que son expérience ne plaide pas en sa faveur.

Il est entré dans une société étrangère pour mieux vendre du meuble fabriqué ailleurs et après une déroute dans une histoire de vent toujours à l’accent anglo-saxon.

Mais ne dit-on pas que les échecs nourrissent le succès ? d’autres sûrement, mais de lui ? Dans un article qui essaie de remettre de l’ordre dans les chiffres de l’intérêt ou non de la vaccination, lancés au hasard y compris par le gouvernement, il est exposé deux choses étranges.

Tout d’abord dire « Le Covid » alors que la communauté littéraire a exprimé qu’il fallait écrire « La Covid ».

Mais, les journalistes en tout bord, ne sont pas les derniers à ne pas respecter l’avis de ce cénacle de sages.

En même temps, pour d’autres horizons, ils sont les premiers à pester contre la perte des valeurs par certains… L’autre est également une expression sournoise dans laquelle trop souvent il faut interpréter au deuxième degré, sinon bingo le mauvais sens.

Il s’agit du trop fameux « plus de chances ».

Employé style les personnes à risque ont plus de chances de mourir.

A vous de comprendre.

Quitter la version mobile