S’il est touchant le message d’une certaine solidarité d’un ministre du gouvernement, il est savoureux de l’entendre s’exprimer par tweet que l’on ne peut répondre à la violence par la violence.
Espérons que ses collègues seront avisés de la lire et la comprendre.
Mais la gangrène en intérieure est toujours plus difficile à éradiquer.
De toute façon, il semble bien que pour l’illuminé, qui doit se rappeler son ancien métier, l’important est le montant des dommages matériels causés par des malandrins voyous.
La casse sociale, il s’en fout, voire les dommages corporels c’est selon l’appréciation des personnes victimes.
C’est la grande mode chez les présentateurs vedettes de tout médias confondus, d’aimer les bêtes à défaut des gens.
L’un a même décidé de se présenter aux prochaines élections pour leur apporter tout le soutien souhaité.
Les gens, eux, sont tellement bêtes que cela ne vaut pas la peine de s’y intéresser.
Au moins devrait-il avoir le soutien de l’ancien belle Marianne sortie de son château pour défendre la cause restée sans voix.
Elle a dit qu’elle n’avait pas dit ce qu’elle avait dit.
Alors, pourquoi vouloir le lui faire dire ? Les entretiens débat sur la chose continue bon train et il n’est pas prévu d’aller plus loin que l’arrêt prévu pour prendre sa retraite.
Juste une petite décote pour vous prouver qui est la cheffe en gare.
Dans les faits, le départ est déjà retardé mais il n’y a vraiment aucune corrélation avec la stabilité, voire l’augmentation, des chômeurs âges.
Dès lors, la question n’est pas le départ, mais bien le maintien de ces personnes dont les entreprises se libèrent au plus tôt regrettant de ne pas l’avoir fait avant et laisser supporter à l’économie nationale le coût de leurs bénéfices non imposés.