En cas de retrait de la France de l’Europe rien ne sera gratuit

Le programme « national-socialiste » en abrégé « nazi » qui est soumis à l’approbation des électeurs dimanche 7 mai implique la sortie de la France de l’Union européenne.

Ce sera la fin de la libre circulation des biens, le retour au Franc, la sortie de Schengen, avec pour conséquence la fin de la libre circulation des personnes.

Nous pourrons toujours voyager à l’étranger à condition de pouvoir acquérir des dollars ou des euros avec nos Francs et acheter du blé en devises fortes si notre récolte est mauvaise.

Mais ne réveillons pas les mauvais souvenirs

La France se trouvera dans la même situation que la Grande Bretagne dont les citoyens ont voté la sortie de l’Union européenne, le Brexit, mais pas de l’euro ni de Schengen, parce que leur pays n’y était pas, ce qui devrait être plus facile pour eux que pour nous.

Pourtant la sortie, même de la seule Union européenne ne se fait pas d’un claquement des doigts et, ce qui se prépare entre Londres et Bruxelles nous servira d’exemple.

Pour y préparer les Britanniques, le ministre Allemand des finances a mis les points sur les « I » en les prévenant, dans leur langue « there is not free lunch » ce qui signifie qu’il n’y a rien de gratuit.

Il a fallu neuf mois à la Grande Bretagne pour réparer sa notification de la sortie de l’Union européenne votée par son peuple et il appartient maintenant aux autres pays membres, les 27, de préparer sa sortie et ce n’est pas gagné.

Nous savons ce qui nous attend si, dans la meilleure des hypothèses la présidente élue trouve une majorité au parlement pour appliquer son programme.

Si ce n’est pas le cas, il faut espérer qu’elle ne suivra pas l’exemple Allemand des années trente dont nous connaissons la fin.

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