Canicule intéressante

J’espère que lorsque vous lirez la présente, la vague de chaleur caniculaire se sera éloignée loin de vous.

Aussi, conservez-la pour son utilité d’une autre fois.

Il fait chaud, très chaud, beaucoup trop chaud.

C’est le moment d’en profiter pour ne pas faire les idiots.

Il est inutile de vouloir faire son sport en plein cagnard.

Il est stupide de vouloir jouer au plus fort en disant moi je ne boirais pas.

Continuez à prendre vos médicaments quotidien.

Mais, attention, notamment les diurétiques, peuvent accentuer la déshydratation.

Alors, buvez, buvez, mais pas trop froid au risque d’un choc thermique néfaste.

Les endroits confinés, sont comme pour la Covid, néfastes.

Aussi ne croyez pas que votre enfant et le chien qui va avec sont mieux dans votre voiture portes et fenêtres fermées placée en plein soleil.

Sortez-les, placez-les à l’ombre d’un arbre.

Et si vous avez un brumisateur, c’est super bien, chouette, mais surtout très utile de votre quête de réhydratation.

Papa protecteur, premier collaborateur de l’entreprise France a rappelé qu’il ne fallait réenclencher un confinement élargi voire total.

Et si jamais un citoyen sort sans son masque, il se transformera plus facilement en père fouettard du bon vieux temps du patronat paternaliste.

Je m’occupe de votre santé, ne pensez à rien, produisez, consommez et vivez.

La nation vous le revaudra bien d’une médaille en chocolat.

Et si vous êtes bien sage, il vous sera (re)versé un intéressement aux bénéfices de votre entreprise en forme de ruissellement.

A ce propos, cela me rappelle bien une certaine hiérarchie présidentielle d’entreprise ayant laissait passer le train de ces primes.

Non pas qu’elle ne faisait pas de bénéfices, mais son pourcentage en rapport aux fonds propres lui permettait d’esquiver ce qui aurait pu faire contribuer à chauffer la marmite de se troupes.

Dont elle se fichait d’ailleurs puisque depuis quelques lustres elle avait décidé de se débarrasser de son personnel.

Tout en douceur sur une longue période car la seule urgence était de ne rien verser au titre d’un contrat social.

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