Cachez-le…

Des candidats à l’élection suprême, il y en a beaucoup : des avec primaires, des sans, des sans décence, des qui marchent sur la démocratie comme ils marcheraient sur mars en pleine lévitation.

Dès que l’on avait point vus, les sondages étant restés muets… des qui ont la petite bébête qui monte alors que pour d’autre elle descend digne du jeu du chat et de la souris matinée du lièvre et de la tortue.

Alors, pour se démarquer dans ce marathon pas que parisien, il faut se faire voir avant d’aller se faire voir par des électeurs qui n’en peuvent plus mais… des paris se font sur le couple qui restera en lice mais sans contrat de mariage, chacun arrivant avec ses biens en nom propre et advienne qui pourra.

Mais, certains disent n’importe quoi, pourvu qu’il fasse la Une de quotidien télévisuel, sur la toile ; et ils se pressent…

L’un a clairement fait savoir qu’un ado avec 1 000/mois pouvait très bien vivre ; cela plaira aux smicard, rmistes et autres sdf… et, en voilà une qui, après s’en être remis d’un combat parricide, décide de porter le fer sur un passé qui pourtant n’est pas vraiment si dépassé en constatant les dégâts sur la toile ; peut-être sera-t-elle bouffée par l’araignée qui la ronge.

Alors, se demandent les victimes d’un génocide que beaucoup n’ont pas voulu voir : qui est responsable de nos états d’âme ?

Une chose est sure, ce ne sont pas les résistants qui n’étaient pas contents ; à moins que l’on ose pouvoir tenter de déclamer que si justement ils n’avaient pas passé leur temps à résister…

Mais, je vois bien mon voisin me rappeler en silence que les dites-victimes l’ont été bien silencieuses comme s’ils devaient continuer à subir une fatalité.

Mais j’ose une absurdité : la France, aux yeux du monde humain, reste responsable de ce génocide dont on ne peut taire le nom, même si c’est uniquement par héritage honteux et qu’une infime partie de ce qui était la France d’alors était en résistance alors que la plus grande partie n’avait jamais si bien portée son nom : la majorité silencieuse….

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