Cacher, c’est pas jouer

Encore une belle écriture pour une accroche sérieuse d’achat d’un produit « Prévoir l’avenir…pour protéger ces proches ».

Tant il est vrai que ces derniers peuvent être éloignés.

Mais ce n’est rien à côté de dette circulaire de décembre visant à contrôler les immigrants dans les centres d’hébergement profitant de leur lieu de rassemblement et de leur faiblesse puisqu’il n’a pu effectuer aucun contrôle lors des passages aux frontières.

Bienvenue aux associations qui ont décidé de ne pas collaborer à ce coup de force policier en attendant que les différents recours aboutissent.

Mais le premier ministre écoute attentivement les demandes des associations prises devant le fait accompli, sans pour autant accepter de revoir quoique ce soit et confirmant que ladite circulaire scélérate s’applique à effet immédiat.

C’est ça la France, une politique autrement : j’écoute, n’en tient pas compte et agit selon mon bon vouloir.

Vous avez dit démocratie ? J’ai déjà été élue sur une erreur d’interprétation, alors dois-je aussi vous rappeler que ma base politique ne dépasse pas les 15 % ?

Une autre facette de marche en avant que personne n’avait vu venir tellement bluffé par le banquier d’opérette à la main si ferme sans gant de velours.

Désormais, c’est acté, malgré les cris d’orfraie d’instances fédérales internationales, il ne suffira plus d’avoir de bonnes compétences intellectuelles et/ou physiques pour exercer son métier de compétiteur, mais il faudra également choisir d’être un bon religieusement correct pour complaire au chef d’état de la région où se déroule l’événement.

A propos, saluons, la championne du monde d’échecs de faire échec à ce beau pays libre de droits qui malgré les règlements signés par lui, oblige le port de costume allant si bien à ses femmes et enfants.

Cette dernière ayant purement et simplement refusé d’assister à cet événement non laïque et de se passer de ce manque à gagner qui lui rappellera longtemps son audace d’entre deux fêtes.

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