C’est assez amusant. La droite gouvernementale voudrait faire de fauche par la destitution d’une association part d’extrême droite pour qui seul semble compter la suprématie blanche, française de surcroît voire du comté noble d’un pays du Sud de la France.
Appeler à l’armement privé lui semble aller de soi.
Cela ferait classe de voir les citoyens s’entre-tuer d’avoir peur de son voisin.
Pourtant est-ce la bonne manière démocratique d’éradiquer le débat en abattant le contradicteur.
La seule façon de faire dans une démocratie non autoritaire s’est s’occuper non pas de la parole mais surtout du pourquoi du comment elle fait écho.
Les médecins crient partout qu’ils voulaient vacciner.
C’est la politique du privé vs public qui s’exprime.
Désormais, 50 % des libéraux n’ont pas décliné l’offre.
Mais, il est vrai qu’ils ne sont pas aidés.
1 lot, pour la première semaine, de 10 doses.
Il leur faudra alors choisir qui parmi leur clientèle y auront droit.
Allez expliquer la situation aux oubliés.
Et tout cela devra se faire dans les 24h s’ils veulent ne perdre aucune dose.
D’une émission matinale pas si à grande écoute que cela, l’on croyait un peu de bonne volonté objective que d’admettre la raison d’un des participants de dire que la politique concernant les attitudes à prendre vis à vis du virus ne peut être que locale, ou départementale voire régionale.
Bien sûr ce serait bien agréable et les politiciens qui ne font pas de politique politicienne pourraient montre qu’ils agissent à défaut de bien faire.
Mais, il faudra alors constater que celui qui est tout proche de la frontière villageoise, départementale voire régionale, sera le premier à s’élever, ou se ravir, que la premier de l’autre côté ne soit appliqué, ou soit, chez lui.
L’animateur qui fait son sel de la contestation avait admis cela.
Pour aussi vite râler d’exaspération de constater que les petits commerces des grandes surfaces devaient fermer alors que les petits commerces concurrents de la rue ou avenue d’à côte restaient ouverts.
Il trouvait pour son émission que le côté funeste de la chose.