Comme beaucoup, et si ce n’est le cas je serais le seul unique en ma matière, je me lève et ouvre mon ordinateur – oui je l’éteins au soir ainsi les virus numériques ne passeront pas ou moins par ma plate-forme – comme d’autres pourraient le faire pour une cigarette allumée – pour cette fois-ci je ne dirais rien, mais vous vous fragilisez encore plus.
Une annonce m’est destinée d’un journal à l’Ouest de la France.
Le titre que je ne renouvellerais pas soulève mon indignation avant même d’avoir tout lu.
Un de dieu en profite pour dire sa haine des homosexuels en allant invoquer la colère de son patron vis à vis d’eux.
Je ne le connais pas, je ne l’ai jamais vu, mais il pourrait faire attention lors de ses entretiens d’embauche sinon sa petite entreprise risque bien aller vaut-l’eau de tant de bêtises embarquées, pour ne pas dire plus.
Et, évidemment, cela se passe Outre Atlantique peut-être pour tenter de dédouaner leur clown Auguste triste qui se prend pour le messie de ces dames mes messieurs.
Mais à la réalité, il n’est pas le seul de ces complotistes évangélistes prêt à tout pour exister et se laver les mains, pour faire genre, des ravages communautaires qu’ils mettent en branle.
Toutefois, je ne savais pas que les homosexuels, lesbiennes et autres transgenres avaient autant de pouvoir planétaire… Pendant ce temps, le gouvernement en urgence décrète ce dont il a envie de décréter.
Ainsi les travailleurs de l’énergie, de l’alimentaire et télecom et autres entreprises jugées indispensable au maintien de l’économie capitaliste auront la joie de pouvoir être obligés de travailler jusqu’à 6h/semaine avec pour compensation de faire passer la pilule d’être réglés en heures supplémentaires ce qui réduira leur déficit du confinement obligatoire.
Ainsi, au lieu d’obliger les entreprises à embaucher les chômeurs, ces dernières s’appuieront sur des salariés dont certains (pensons aux caissières par exemple ou techniciens de surface) sont déjà bien las de la réquisition qu’ils ont subi du fait du confinement.