Ils ne sont pas restés en place juste pour attendre que leur patron ait fini de procrastiner.
Démissionnaires de par la volonté de leur petit chef, ils font ce qu’ils peuvent pour que le bateau ne coule pas avant leur départ.
Après, ils s’en foutent, sentant bien que le cataclysme qu’ils ont provoqué va bien ennuyer leurs ennemis jurés crachés.
Et après, celui qui est encore en poste malgré une absence totale de majorité, continue à faire semblant de rechercher un ministrable à sa main.
Comme aucun politique ne se presse vraiment même pour faire semblant d’appliquer sa politique dévastatrice, surtout pour les plus faibles et en premier les plus pauvres, cet homme encore jeune beau cherche dans le civil celui qui veut endosser l’uniforme de chef de gouvernement.
Lui, ira se reposer à la Lanterne en rigolant bien du bon coup qu’il a fait.
Mais la rentrée arrive, c’est demain et rien au portillon de l’école où les classes ferment l’une après l’autre sans banc d’école en remplacement.
Ça surchauffe dans tous les milieux.
Peut-être pense-t-il, car oui il pense, que cela permettra quelques économies d’énergie qui, sans fâcher celle nationale, favorisera la planète entière.
Même dans le pétrin, il pense que c’est encore à lui de faire le pain.
D’ailleurs, dans ses excursions étrangères, il ne cesse de les vendre en disant que c’est du bon, c’est français ! Surtout n’allez pas lui serrer la main car comme un ancien romain, il s’en fiche complètement.
Grâce à la Covid, il a pu expliquer drastiquement le pourquoi du comment de la dette en faisant oublier les beaux cadeaux princiers qui sont autre que le seul fait du prince de rendre français des étrangers qui savent comment faire pour terroriser les autres.
Mais, la double peine serait qu’il reste encore trop longtemps…
