Nous sommes rentrés dans l’ère du minoritaire. Les décisions ne doivent plus se prendre à la majorité d’une république plurielle.
Mais l’Aube des bons vouloirs des rapports de force et de nuisance des minorités.
L’entre-soi n’est plus que jamais majoritaire.
Mais à la différence d’hier où l’entre-soi était plutôt versé sur le financier ou tel ou tel compagnonnage d’une profession exercée laissant toute possibilité pour le reste de la vie autrement.
Aujourd’hui c’est le totalitarisme d’une apparence sectaire opprimant les siens obligés de rester ensemble s’ils veulent exister.
Avez-vous entendu ou vu que dans certaines associations de musée, l’on a décidé de supprimer l’écriture des chiffres en romain pour les remplacer par notre structure arable.
Ainsi,si l’on pourra continuer à dire Louis XIV, il faudra écrire Louis quatorze ou pour plus de familiarité Louis 14.
Ça fait beau comme un arrondissement de grandes villes ou département.
Il fallait bien tenter de simplifier l’écriture puisqu’ailleurs on la veut inclusive.
L’équilibre entre les minorités est fait ; cela prouve que la démocratie est toujours vive mais autrement.
Mais, il faut bien le dire.
Le régime des quotas est simple.
Il suffit de trouver la personne minoritaire répondant aux critères du quota concerné.
Ainsi, plus de difficulté pour trouver si les qualités, professionnalisme, expérience de la personne correspondent.
Les politiques attendent les régionales et départementales à venir en juin pour que le peuple des électeurs pensent de la conduite actuelle du gouvernement face à la Covid.
Sincèrement, je ne vois pas comment une régionale pourrait éclairer un national.
D’autant plus que pour la première ce sont des conseillers qui sont élus pour nommer leur président.
Alors que dans le second cas, ce sont les électeurs qui élisent directement leur premier de cordée ou non.
Comment peut-on rendre responsable une personne qui décide régionalement, ou pire départementalement pour une prise de décision nationale.
Certes, en politique les raccourcis sont de mise, mais tout de même…