En cas de son départ, la prise sera réalisée par le précédent.
Dans l’absolu impossible, oui, si tous les coureurs abandonnent pour une raison quelconque ou sans.
Ici, ce n’est pas ailleurs ni là-bas.
Pourtant là-bas peut-être ici si l’on y est.
C’est comme ailleurs d’autre part qui n’est pas pas forcément aussi loin.
Tout dépend de son point d’attache ou de départ lorsque l’on n’est pas arrivé.
Il a été juré promis qu’aucun impôt ne serait créé.
C’est chose faite puisque le gouvernement a décidé que désormais les salariés n’auront plus droit qu’à un seul repas d’affaires par semaine.
Vous imaginez bien le désarroi des commerciaux dont cette activité est primordiale.
S’ils font plus pour continuer à faire leurs affaires, ces repas rentreront en avantages en nature.
Le social à la mode de l’illuminé est grandissime.
Mais, l’on ne change pas une équipe qui perd.
Cela fait croire aux autres que c’est gagné.
Et, il baisse la garde.
Tout compte fait, il semble que la pandémie rejoue les cartes sur la symbolique liberté.
Lorsqu’il le confinement dominait, la privation liberticide était réelle.
Tout le monde était à l’agonie pour éviter que ne finissent trop de gens qui avaient à vivre.
Et comme cela a fonctionné, les mêmes continuent leur vie.
Mais tout le monde c’est beaucoup trop par rapport aux autres.
Aussi, est-il décidé de ne plus y retourner.
D’où de nouveaux actes liberticides entrent en vigueur, notamment le passe sanitaire.
Celui doit permettre aux vaccinés de jouir de leur liberté.
Les autres réfractaires paieront argent comptant leur choix.
Du coup, ceux que l’on n’avait pas vraiment entendu lors du confinement hurle à la privation aujourd’hui.
Pourtant que l’on sache, ils sont une minorité.
Voudraient-ils dominer les autres ?
