Ça se fracture mal

Décidément, c’est un fait la France se fracture. L’on pourrait d’ailleurs plutôt parler de multi-fractures.

En effet, désormais il y a plein de pour et plein d’anti qui ne le sont pas forcément dans une situation, et vice-versa.

Les différentes nuances de gris, généralement exigées pas la recherche d’une vérité semblent avoir disparu de la scène républicaine française.

Le Conseil Constitutionnel a sorti sa décision.

L’essentiel pour le gouvernement est sauf et gardé.

C’est gagné pour eux, ils ont bien travaillé.

Ils avaient même osé aller demandé le licenciement pour les salariés refusant leur diktat.

Les deux chambres réunies s’étaient déjà entendu pour limiter la mesure de contrainte à la suspension de travail.

C’était vraiment du très beau travail puisqu’il rendait encore plus précaire la situations desdits salariés.

Mais, pour le Conseil sur ce point crie que trop, c’est trop s’arrêtant simplement au sort des Cdd et intérims et à l’isolement qu’il réserve aux plus fous.

Le Conseil a décidé que les mesures liberticides sont proportionnées mais surtout limitées dans le temps.

Alors à la revoyure sur novembre à ce sujet.

Pour ceux qui trouveraient que les anti en font de trop, sachez qu’il est absolument indispensable qu’il y ait du monde suffisamment vigilant pour regarder attentivement que l’on ne fasse pas n’importe quoi sous des raisons qui pourraient, a priori être bonnes.

Allez pour dégager les zygomatiques, quelques propos de n’importe quoi.

Il y a tellement de pubs faisant promesse de cadeaux que désormais, je n’ouvre que si ledit me plaît a priori.

Le célèbre de ne pas confondre vitesse et précipitation devrait permettre de ne pas confondre tout et alentour.

Et si vous rencontrez des soumis et insoumis, vous devrez sans doute faire votre choix de camp.

Comme incitation à la vaccination, il faudrait inciter à la citation de l’ordre du mérite bien plus durable qu’une prime évaporatrice…

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