Ça raille
La France semblerait revenir reine de d’Europe devant la quasi déconfiture de l’Allemagne présentée, dans un temps passé pas si éloigné que cela, comme une figure de proue à suivre selon toutes convenances.
Cette situation semblerait provenir de l’échange de poignée de mains qui n’en finissait pas de s’éternise entre le clown d’Outre atlantique et l’illuminé d’ici bas.
L’on ne sait pas encore si cela nous fera du bien, mais si ça ne nous fait pas de mal, laissons-les s’amuser en espérant qu’ils ne nous apporteront pas encore plus de tourments.
L’on a beaucoup rigolé mais encore plus chez les kangourous de la mauvaise interprétation d’un mot choisi qui dans le courant des pratiques humanitaires étaient d’un autre ordre.
Mais, au lieu de rire, barbares d’anglophones, ne pourriez-vous pas revoir vos traducteurs que vos sociétés anglaise ou américaines nous présentent comme étant la botte pour être à l’aise partout et avoir chaussure à son pied alors que les doubles sens ne sont même pas indiqués correctement.
De toute façon, notre impérieux n’avait pas à faire croire qu’il était encore à l’école et maîtrisait assez l’anglais pour complaire à sa maîtresse.
Bougre d’âne, il n’avait qu’à parler sa langue d’origine dont il ne devrait pas avoir si honte que cela.
Est-ce que de l’autre bord ils parlent français ?
C’est terrifiant, la dette réelle de la SNCF décidée, voulue, par les gouvernements et décideurs successifs, s’élève à quelque chose comme 8-9 milliards en comptant le nécessaire renforcement pour la création de la nouvelle société à venir.
L’état jusqu’à alors n’a jamais pris ses responsabilité de 1er actionnaire, montrant, ainsi au passage, l’exemple à d’autres patrons qui n’ont rien vu, et décidé dans sa speldeur qu’il veut grande, d’agir en compensation sous réserve que les cheminots fassent eux-aussi des efforts même s’ils n’y sont pour rien.
Et de mettre dans la balance ces nombreux milliards qu’il doit légitimement avec les 100 millions, chiffres restant à prouver comme la réduction des morts sur route du fait d’une vitesse réduite à 80Km/h, que coûteraient le statut des cheminots.
Bien entendu, il n’a pas été réintégré la nécessaire obligation de revalorisation du statut des salariés qui seraient embauchés sur une autre base.