l’on est loin, très loin d’une dictature puisque les robes noires s’adjugent le droit de dire la politique.
Désormais, ce n’est plus dans les urnes qu’un politicien est sanctionné pour avoir pal appliqué la politique pour laquelle il a été élu.
Mais, c’est dans les prétoires que la sentence est donnée.
Les juges se placent plus haut que les élections, ils aspirent au pouvoir suprême.
Bien entendu, lorsqu’il s’agit d’un soupçon de fraude, de manipulation manifeste, de détournement financier ou enrichissement sans cause, cela va de soi, les tribunaux ont tout loisir pour faire entrer l’accusé.
Mais pour une politique appliquée qui ne plaît, la notion républicaine est vraiment mise à mal.
Et, de plus, dans cette affaire très récent, c’est de politique sanitaire dont il s’agit.
Les juges s’estiment compétents et sans doute plus sachant que les experts médicaux.
Ils vont, en l’espèce, rendre verdict d’un comportement d’une ancienne ministre qui avait la santé.
Son péché est d’avoir considéré que au bout d’un mois de sa connaissance, la pandémie n’était pas si grave que cela.
Mais, alors dans ces conditions, il faut attaquer l’Oms qui a attendu 6/2020 pour en dire toute la gravité alors que la mise en cause avait démissionné en février de la même année.
Était-elle vraiment responsable du manque de masques, alors que nombre de scientifiques médecins, comme elle en passant, disait qu’ils ne pouvaient être portés par tout le monde.
Car, une mauvaise manipulation pouvait entraîner pire que ce qu’il était censé protéger.
Et, d’ailleurs, ces masques, toujours selon eux, ne protégeaient pas aussi bien que l’on voudrait le croire.
Alors ils étaient insignifiants dans la protection que l’on voulait leur accorder.
Les grandes nations ont bien compris le « quoi qu’il en coûte ».
ainsi nous auront le droit à notre retour de boomerang à 54 milliards d’Euros ? Qui dit mieux ?