Le Cloud, vous connaissez ? A ne pas confondre avec le bon vieux clou français de vos labeurs d’apprentis qui vous permettait de trouer le mur loué comme les petits suisses le font de leur fromage non râpé.
Non, le cloud d’un bon vieux anglo-saxon que nos informaticiens nous ont encore imposé.
Pour faire passer la pilule, ils nous vantaient le mérite de leur nuage virtuel.
Ils nous faisaient rêver que grâce à là-haut, dans le ciel de leur boîte informatique, nos données seraient protégées et surtout disponible à volonté où que l’on soit pourvu que l’internet y soit.
Plus de tiroirs bourrés de n’importe quoi.
En l’espèce de vieux disques durs ayant déjà remplacés de vieilles disquettes qui voulaient mettre fin au papier.
Et tous les acteurs de services informatiques, internet et touti quanti y passaient.
Qui veut de mon Cloud ? 100G0 de gratuits disponible, là immédiatement tout de suite.
Passez-vous le Cloud.
Partagez, travaillez en commun.
En somme le télétravail avant l’heure de sa mode.
Et bien pour cause de guerres entre belligérants ayant causé un manque d’énergie gazière, l’électricité s’est vue fortement augmentée sur le plan tarifaire.
De ce côté, le ruissellement a super bien marché puisque nous constatons des augmentations sur ce service dont on n’avait pas besoin, à par les pro et quelques particuliers, de 10 %, voire nettement plus.
Ce qui au passage, vous avez pu le constater, les revenus de nos pauvres porte-monnaie sont loin d’avoir augmentés autant lorsqu’ils l’ont été.
Serait-ce à désespérer des nouveautés informatiques ? Tenez, chacun sait désormais le rôle jouer par les dictionnaires grammaticaux chargés, à votre place, de vous faire bien écrire.
Soit, bon, en passant cela évite de trop se préoccuper d’une langue barbare.
Autant aller tout droit vite à l’essentiel.
Mais lorsqu’une erreur pour la même place, la même expression « Passez-vous » se répète de la même manière si vous obtempérez pour « Passez vous » vous vous demandez bien de quoi vous allez vous passer.