Ça change
Oui, bon, cela a toujours existé.
Bien avant, certains enfants étaient laissés à l’abandon dés la naissance, dés les difficultés arrivées, dés l’impossibilité de la vie à les garder : chacun devant pouvoir survivre pour soi-même avant de le faire pour les autres.
Cela à ne pas en douter, marquait de manière indélébile ceux frappés de ce fléau qu’ils soient passés par la case assistance publique et/ou famille d’accueil.
Vous ne pouvez pas vous imaginer les dégâts causés dans une société préférant fermer les yeux sur cet insupportable c’est pas moi, c’est l’autre.
La contraception, l’avortement ou la vieille règle religieuse absurde de l’abstinence – quoique pour les concernés…
– permettent de réduire le risque d’une mauvaise naissance ou à tout coup d’un mauvais risque pour l’enfant.
Puis ce fut la possibilité pour les parents de séparer en ne se disant pas adieu puisque les cas des enfants restant sur le palier est difficile à régler, à gérer : tu le le prends ce week-end, j’ai autre chose de plus important à faire ou encore je paie cher pour que tu puisses bien t’en occuper et faire joli dans les dîners de salon.
On se met en couple, on fait des enfants, on se déchire, on se sépare.
Place à la nouvelle vie des parents ; mince alors, il reste des enfants…Alors, le Ceses (Conseil Économique Social et Environnemental) vient de se réveiller, se poser la question et proposer ses reflex ions à son groupe sur la question.
Mieux vaut tard que jamais me direz-vous et puis pour parler d’un problème encore faut-il en avoir conscience, le connaître, l’examiner, l’apprécier ; cela prend du temps même sic e dernier ne change rien à l’affaire : c’est l’enfant qui prend en plein dedans et déjà lutte innocemment avec ses propres moyens.
Merci parents de penser à moi tout le temps…
