Ça bouge
C’est un petit gars qui voulait se lancer entrepreneur pour exercer avec talent son talent.
Mais faute de contrat il désespérait.
Ses essais en tant que salarié n’était pas suffisant, il s’est lassé emporté par les événements.
Puis, à force de volonté, de prise de conscience, de plus de maturité, il s’est proposé à un entrepreneur entreprenant.
Et ho surprise, l’embauche a été immédiate par un contrat en Cdi.
Oui, Cdi pas Cdd, ce qui dans la tête de ce petit gars qui a mûri, veut dire, signifier fin d’une certaine précarité s’il passe correctement sa première année.
Alors que se passe-t-il chez les entrepreneurs ?
Est-ce vraiment l’effet de notre impérieux qui ravie l’espoir, est-ce les annonces qui ne se sont pas contentées de l’être mais sont effective qui ont modifié ces âmes et cœur sensibles ?
Comme je sais que je peux vire comme je le veux sans grande contrainte, et en tous les cas sans grande surprise, je peux embaucher sans la dure contrainte de verser une prime de précarité vraiment trop contraignante surtout lorsque l’on peut le faire autrement.
Mais, peut-on penser que le patronat laissera la possibilité d’évolution de carrière ou, pour accroître les bénéfices et profiter pleinement du retour de la croissance et d’une certaine confiance que l’on espère qu’elle ne sera pas qu’unilatérale, mettront-ils la majorité de leurs salariés au niveau de serfs serviles dans le salariat de pauvreté ou pour d’autres juste à la limite afin de les tenir sans laisse comme des mouton obéissants.
Ce que seuls, les nantis installé ne peuvent pas comprendre.
Je ne parle pas des riches qui,eux, l’ont bien compris, c’est quasi génétique…
Un éditorialiste, après un chanteur qui veut tout faire, l’ait fait en discours de messe mortuaire de celle de Proust, a osé faire un jeu de comparaison de mots en tentant mettre côte à côte l’écrivain à belle voix avec le chanteur sans grands écrits.
Mais ce dernier, ou du moins sa famille tout d’un coup recomposée qu’elle ne s’est jamais déchirée, se consolera de savoir qu’il pourrait être question d’envisager de penser mettre l’idole des jeunes anciens au programme scolaire des jeunes de demain.
Sûr qu’avec cela, notre score mondial en orthographe va perdurer…