Ça balance pas mal

Oui, en assurance, les propositions de contrats sont importantes.

Il faut les lire, voire les décortiquer.

Mais qui a vraiment le temps de le faire dans son entier, même partiellement ? Il faut alors trouver le bon interlocuteur qui saura vous expliquer.

Mais, encore faut-il qu’il en ait le temps, la compétence.

En effet, sachez que la personne qui vous reçoit, physiquement dans les bureaux, agences, de votre ville ou à distance via les plates formes téléphoniques, n’a pas toujours la connaissance ou le temps.

Oui, le temps, car le sien est limité surtout sur les centres d’appels où vous devez bien le comprendre un autre appel attend celui qui tente vous répondre.

Dans les réseaux de salariés, surtout existants dans les mutuelles, vous pourriez prétendre à plus de performance.

Mais, ces gens ont-ils vraiment la volonté de vous satisfaire, eux qui doivent d’abord répondre aux injonctions de leur (petit) chef ? Et, partout, étant donné le manque d’effectif, la nécessité d’une rentabilité immédiate, celui qui vous reçoit, où qu’il soit, doit aller à l’essentiel.

Pour son entreprise, pas pour vous : souscrire rapidement au nouveau contrat ou à la nouvelle garantie.

Il reste le réseau des intermédiaires d’assurances.

A priori, ces gens n’ont que peu de connivence avec les entreprises d’assurances.

Seule leur entreprise compte.

Et normalement vous êtes la base de leur entreprise.

Mais, il faut savoir avant tout qu’il existe deux types d’intermédiaire.

L’agent d’assurances qui représente la compagnie d’assurance, voire mutuelle et non l’assuré.

Le courtier d’assurances, lui, est censé représenter l’assuré.

Après avoir compris la demande de son client, il est censé recherché l’offre la plus adaptée.

Mais, dans les faits, son approche concernera au mieux deux ou trois compagnes d’assurances.

Alors, si vous êtes sûr de votre fait, en avez marre des fausses promesses, il vous reste la souscription en ligne.

C’est à vous de faire.

Et vous verrez.

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