Çà balance dur

L’un des vaccins a le feu vert de la communauté européenne. Notre premier de cordée en santé s’est aussitôt expliqué.

Pas de panique, il n’y a pas d’urgence dans cette campagne.

Autrement dit, il nous ressort le discours déjà entendu sur les masques, les tests.

Non pas qu’il n’y avait pas de besoin de les avoir, les faire.

Mais bien parce que dame France se trouvait dans l’impossibilité de faire en masse.

Serait-ce la même pour la vaccination ? Le gouvernement n’aurait-il rien compris à ces erreurs devenues mensonges éhontés de petits politicards soucieux uniquement de leur propre carrière ? L’on connaissait bien la bouillabaisse, mélange de poissons succulente lorsque c’est bien fait.

La bourride, moins connue, mais très appréciée des connaisseurs, ne s’en laisse pas moins conter.

Mais la soupe dans laquelle les politiques de gauche ont mise les citoyens de cette belle ville vaut son pesant de tout ce que l’on déteste, si ce n’est, très certainement, une vraie promesse d’amie à un qui savait bien ne pas pouvoir l’emporter sur son nom.

C’est dommage, car la trahison de ce printemps sudiste risque de continuer à faire perdre goût à la vie en société.

Ce sont les communautaristes qui doivent être aujourd’hui ravis de la situation.

Dans un excès de parité extrême, il avait été exigé l’écriture inclusive.

Et peu importait pour les féministes les torsions faites à la langue de notre pays.

Ce d’autant plus que pour mode, ou peur de représailles comme si l’on était en guerre, certaines écritures réputées employaient cette technique dont on ne peut reprendre oralement les dires qui ne seront donc jamais.

Mais, pire, certaines voix s’élèvent à juste titre pour faire savoir que les aveugles ne sont pas en mesure de lire ce qui, pour eux et elles, ressemblent à du charabia.

Ainsi donc, ladite écriture inclusive serait-elle exclusive des mal ou non voyants.

Pensez-vous que les matrones vont comprendre l’absurdité de leur jusqu’au boutisme ?

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