Çà arrive dans l’impatience

Une quatrième vague arrive, c’est sûr. Ce qui l’est moins c’est la date de sa réalité et son impact.

Ce dernier dépend uniquement de la vaccination en masse.

De plus, certains prédisent un confinement.

La question reste posée dans ce dernier cas.

Puisqu’il n’y a aucune obligation du vaccin, est-ce que seuls ceux qui s’y refusent y aurait droit ? Ils choisissent de ne pas faire, ils doivent en assumer les conséquences.

De même le bénéfice du test gratuit pourrait être réservé à ceux qui ne peuvent se faire vacciner ou qu’il y a urgence à le faire.

Reste à comprendre que ceux qui sont à risque quel que soit l’âge et peut-être encore plus ceux qui pourraient transmettre ce virus du fait de leurs activités.

Mais si chacun accepte de … Mais, si les médecins de ville acceptent de contacter les à risque fournis dans les listes transmises par la SS du coin, cela ne devrait pas être trop difficile à faire monter les taux pour faire baisser les risques d’asphyxie des services de réanimation.

Toutefois, il semble bien que le grand conseil scientifiques composé de grands intouchables dont le savoir est abyssal surtout en la matière, il faut non seulement veiller à ce que les risques soient tous vaccinés afin de ne pas engorger les services hospitaliers.

Mais, encore, il faut que 90 % de la population se fasse piquer pour ne pas être sous l’influence d’un variant qui remettrait tout en cause.

Bref, il faut que tout le monde se vaccine pour ne plus en parler.

Sauf que celui qui arrive en retard de piqûre fait savoir qu’il faut pousser à une troisième dose pour avoir son morceau de sucre de ce gâteau de marché trop beau.

Dans la pure théorie, c’est l’obligation de vaccination qui doit prendre corps.

Mais, outre l’atteinte à une liberté individuelle, elle pose la question d’équitabilité des chances.

Comme pour les réseaux téléphoniques et Internet : en avoir ou pas est déterminant.

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