Malheureusement c’est rarement le cas, car, notamment le viol se pratique trop souvent entre proches et parfois de très près, pour pouvoir être dénoncé, par peur du scandale, dans un milieu où tout le monde se connaît.
Pour ce qui est du harcèlement, il faut que les actrices vieillissantes se taisent, car elles ont souvent obtenu leurs premiers rôles en sacrifiant les charmes de leur jeunesse.
J’ai entendu comme tout le monde parler des « promotions canapés » et jeune étudiant travaillant dans un petit cabinet de courtage d’assurances, ou tout le monde savait que la secrétaire, une vieille demoiselle était de longue date la maîtresse du patron.
Cela se passait dans un environnement paisible, sans le moindre favoritisme, pas de quoi jeter une pierre à quiconque.
S’il y a du harcèlement dans les rues et dans les transports en commun, c’est ponctuel, on peut le prévenir en pratiquant, comme l’a fait la France, en son temps par le regroupement familial au moment de faire venir massivement de la main-d’œuvre étrangère ou, comme le font notamment l’Allemagne et les Pays Bas en autorisant la prostitution dans des lieux dédiés.
Mais on ne peut pas grand-chose contre les obsédés sexuels en liberté et ils sont – malheureusement nombreux.
Maintenant, il y a des activités, des lieux et des milieux où se pratiquent plus facilement qu’ailleurs des plaisanteries un peu, voire très grasses, d’ordre sexiste qui, si elles sont ponctuelles ne relèvent pas à proprement parler de harcèlement, on dira que cela se passe entre adultes consentants, pour s’amuser.
Par contre, lorsque cela se pratique sur une grande échelle, sur une place publique, par un attroupement de gens qui ne se connaissent pas, qui aurait dû être festif, comme à Cologne, le jour de l’An, c’est une situation d’une tout autre nature, qui mérite une analyse approfondie, pour éviter que cela ne se reproduise, les autorités locales doivent en avoir une idée.