Elles se sont gavées de plans sociaux. Elles se sont gavées de solidarité nationale.
Elles continuent de verser de forts dividendes qui ne ruisselleront pas sur la classe moyenne ni même la plus pauvre.
Ainsi, donc la vie continue avec sa certitude que cela sera beaucoup plus dur pour ceux qui n’ont pu en sortir.
Dites, il y a un truc vraiment bizarre.
A gauche, l’on avait commencé avec le PS vraiment de gauche, puis la poursuite s’est faite avec le PCF qui s’est fourvoyé avec les pays soi-disant considérés communistes dans le plus pur régime totalitaire que n’auraient pas renié ceux d’extrême droite au pouvoir.
Les uns et les autres s’amusant à détruire les peuples dont ils ne voulaient plus voir libreS.
Alors, c’est vers le PS que les électeurs de gauche se sont (re)tournés.
Mais, il y avait déjà une puce qui grattait gentiment dans son coin de voir un ancien de droite aimant des collabos notoires faire la razzia sur le parti d’alors.
Mais, ce peuple de gauche était content puisque leur sigle se mêlait avec le drapeau national.
Bien entendu, le vrai visage droitier s’imposait deux ans plus tard.
Et l’on a eu de cesse que de se faire balader par des gens du même bord qui lorgnaient les mêmes places.
La gauche en a pris son grade et la droite dite modérée – ça veut dire franchement quoi ? – se délite depuis.
Or, à ce jour, l’on aperçoit au milieu du pré deux tendances, une extrême droite qui se renforce en voulant faire croire qu’elle n’est pas anti social, république et un soi-disant parti dit restant de gauche tout en absorbant plus de droitiers.
Vraiment, les papys généraux en sédition ont raison de clamer avec leur humour que décidément tout fout le camp dans cette nation dont on ne reconnaît même plus le drapeau qu’il est en berne.