Bonne et heureuse année 2018
Et voilà sous la grisaille, après la tempête, c’est reparti pour une nouvelle année civile, mais la nouvelle année n’est pas le 1er janvier.
Non, je ne vais pas parler d’autres calendriers venant d’autres religions qui font tomber le premier jour de l’année à d’autre moment et en considérant que le premier jour de l’année n’est pas le bon.
À titre d’exemple, le nouvel an en 2017 :
- Chinois le 28 janvier
- Tibétain le 27 février
- Hindou le 18 mars
- Bouddhiste le 13 avril
- Juif le 9 septembre
- Musulman le 11 septembre
Il y en a encore bien d’autres, mais celui qui s’est imposé, c’est le calendrier Chrétien et encore par pour tous, puisque le nouvel an orthodoxe tombera le 13 janvier 2018.
Comme nous vivons dans un monde de communication, d’échange, il est pratique d’avoir un calendrier unique, et le 31 décembre du calendrier marque le dernier jour de l’année… l’année civile.
Mais est-ce vraiment le premier janvier qui marque la rentrée, la reprise ? D’accord, le premier janvier nous subissons – comme cadeau de début d’année de nombreuses augmentations de prix (pour le 01/01/2018 : carburant, gaz, timbre,…).
La véritable reprise n’est pas celle du 1er janvier, mais celle de début septembre après la trêve des grandes vacances, entre les juillettistes et les aoûtiens, où la France ralentie, principalement entre la mi-juillet (marquée par la fête nationale du 14 juillet et la fin août).
Le 1er janvier n’est qu’un changement de calendrier, marqué par 2 semaines de vacances pour les enfants (mais ces périodes de 2 semaines de pause s’enchaînent tout au long de l’année).
Noël, pour les chrétiens est une fête religieuse, mais, il y a d’autres, tel que le 15 août.
La fin de l’année, est un moment privilégié pour passer quelques jours en famille, entre amis,… se faire des cadeaux, faire de bons repas,… passer du bon temps malgré le froid et la grisaille du mois de décembre.
C’est également, juste quelques jours avant noël, le solstice d’hiver, celui où la nuit est la plus longue et le jour le plus court. On fête toujours le solstice d’été, mais pour moi, le plus beau est celui d’hiver. Non, je n’aime pas la nuit, mais dès qu’il est passé, les jours commencent à rallonger et nous retournons vers la lumière. Le solstice d’été marque le retour vers l’obscurité.
Arrêtons toutes ces considérations et revenons à ce début d’année.
À toutes les lectrices, à tous les lecteurs de Notre-Siècle, je présente mes meilleurs vœux de santé (sans elle rien n’est possible), de bonheur et de prospérité pour 2018.