Et bien, il y a des individus qui ne sont même pas à ce niveau.
L’éditeur de Notre-Siècle, FRANOL Services, a ses bureaux dans un centre d’affaires parisien.
Peu de contacts avec les différents locataires, mais tout de même un discret « bonjour », en se croisant dans la journée. Le minimum « syndical », mais un minimum largement suffisant.
Et, il y a équipe, de gens charmants – sauf un – pour gérer ce centre d’affaires.
Il y en a un, je ne sais pas pourquoi, lorsque je lui dis « bonjour », qui me regarde avec un regard entre l’indifférence, l’agressivité, je ne sais quoi, sans même daigner répondre.
J’en ai encore fait l’expérience ce matin, et là j’ai eu droit à un regard « méprisant », souvent c’est ce regard.
Je m’acharnerai à lui dire « bonjour », puisque je sais que cela l’agace au plus au point.
Je crois que cet individu, n’a pas la moindre once d’éducation. Lorsque l’on dit bonjour, le strict minimum est de répondre « bonjour ». C’est ce que l’on m’a appris, saluer les gens que je connais, au moins de vue.
Surtout – mais qu’importe – que dans ce centre d’affaires, je fais parti des clients et lui de l’équipe assurant le bon fonctionnement du centre. Alors à « bonjour » il devrait répondre « bonjour ».
Je crois que nous avons tous, dans notre entourage professionnel, des individus grossiers sans aucun savoir vivre.
Je me demande, si je ne vais l’apostropher, un de ces jours, pour lui rappeler, le savoir-vivre minimum.
Mais, je ne suis même pas certains qu’il puisse comprendre.
