Tenez, reprenons l’idée simple de la prime aux salariés.
Premièrement, et pas forcément dans l’ordre du n’importe quoi, c’est le patron qui décide comme un moyen d’affirmer son pouvoir du grand sur le petit.
Et puis, s’il dit non, ce sera de sa faute, le gouvernement a tout fait y compris rejeter le singe sur l’épaule de l’autre.
C’est malin un singe, comme l’inventeur de l’idée de tout faire pour payer les salariés tout en réduisant les charges sociales.
Ainsi, à moins de cotisations sociales correspondra l’impossibilité d’augmenter les aides sociales et justifiera, même, la baisse de ces dernières genre aide au logement pour ne pas parler des pensions de retraite ou du indemnités du chômage – dont la situation de chômeur, dans la très grande majorité des cas est décidée par un patron trop soucieux de conserver son niveau de vie ou les positions d’un état prenant des mesures aux conséquences douteuses.
Déjà que nombre d’entreprises se réjouissent de pouvoir sous-traiter à des auto-entrepreneurs dont les charges, impôts compris, ne dépassent pas 23 %, contre plus près de 60 % pour les salariés, tout compris, sans parler de l’absence de t.v.a sur les prix pratiqués.
Bientôt, reviendra la bonne idée qu’elle est sympa, l’exonération des charges et impôts sur les heures supplémentaires travaillées pas toujours en plus : il suffit simplement d’embaucher un salarié à temps partagé et lui demander de faire des heures supp pour réduire sa charge ! Bien entendu, tout salarié saint d’esprit et surtout dans le besoin, acceptera sans coup férir la bonne aubaine de gagner plus et tant pis pour les conséquences.
Il n’est pas certain que je sois concerné..