Blessure mortelle

Ainsi donc, la Démocratie peut se satisfaire au pays des droits de l’homme de l’action souterraine d’une bande de pieds nickelés.

Le premier d’entre eux déclare que toutes ses actions qu’ils annonce performance sont artistiques.

Ainsi au nom des droits des artistes, qui ont pour eux la liberté d’expression, il se donne le droit, avec un avocat qui se dit d’extrême gauche et une petite amie qui semble se ravir d’être utilisée en chèvre bonne petite bourgeoise des beaux quartiers qu’elle est, de déclamer le bien et le mal.

En l’espèce le bien serait tout ce qu’il admet y compris ses actes délictueux ou ses bagarres nocturnes, et le mal tout ce qu’il lui appartient de dénoncer ce qu’il ne pouvait faire en son pays totalitaire d’origine.

Jamais au grand jamais, y compris avec la soi-disante aide des réseaux sociaux, son acte contre un homme politique se présentant librement devant les électeurs n’auraient pu fonctionner à ce point.

D’ailleurs, pendant un laps de temps certain la mise en ligne de cette vidéo, entre des rapports de nos temps modernes avec deux adultes consentants – même si l’on peut penser que l’une l’était plus que l’autre et que ce n’est pas forcément celle que l’on pourrait de prime abord penser – n’a eu l’effet que d’un pshittt comme l’aurait sans doute dit un ancien disparu.

D’ailleurs même un journal en ligne réputé pour la sortie des affaires louches n’en a pas voulu de cette bande numérique qui porte uniquement atteinte à la vie privée, c’est tout.

L’attaquant ne s’est même pas pris la peine d’aller contester en débat public la position familiale de sa victime.

Cela aurait été trop facile et sans aurait permis à ce dernier de se dédouaner.

Non il valait mieux attaquer par surprise sans laisser aucun droit à quiconque.

Et, miraculeusement, cette vidéo a pris de l’ampleur et le diffuseur à pu être saisi pour un autre acte commis ultérieurement que les forces de l’ordre ne pouvaient retrouver puisqu’il était caché à la vue de tous dans les beaux quartiers parisiens…

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