Ce serait toujours ça de gagner pour les personnes concernées, mais tant pis pour les autres.
D’autant plus qu’une fois encore, les euros nécessaires seraient recherchés dans les cotisations sociales qui pour les patrons sont naturellement des charges.
Encore un coup grave sur ce qui faisait le fondement de notre société et que le monde nous enviait : notre sécurité sociale et la fraternité qui va avec.
Ils sont partis 100, en chemin ils furent mille, puis 10 000 et on ne compte plus tant les estimations des forces de l’ordre sont bidonnées comme l’est, sans aucun doute, ce Président sur son nuage jupitérien.
Il doit bien rigoler de sa blague faite, lui qui a tant trahi la gauche grâce à laquelle il a été élu et réélu.
Il faut dire que ces gars de la gauche sont un peu naïf de croire qu’un banquier se rangerait de leur côté.
Et, ce n’est pas avec le jeune vieux 1er ministre que cela risque de changer, au contraire.
Il fait mine de remettre sur la table le problème des retraites.
Sans doute veut-il faire aller jusqu’au bout des espoirs de son groupuscule de parti.
Et, ce n’est pas la Dame au chats qui s’opposera puisqu’au nom de ses inestimables électeurs elle troquera celle-ci pour une proportionnelle de bon aloi.
Ils n’ont pas dévoyé leurs votes pour cela ? Ils vont comprendre ce qu’est la politique.
Ton vote, c’est pour élire, donner une légitimité et non une obligation de faire.
Curieux tout de même l’aveuglement dans les propos du jeune vieux premier ministre.
Dans sa première interview télévisée, il est rapide le gars, il affirme que dans son gouvernement à venir il y aura de tout « Il y aura des gens de droite, de la majorité présidentielle, possiblement des gens de gauche et des ministres sortants ».
Ainsi donc, la vie droitière continuera…
