Berlue…

J’ai la berlue : vu de mes yeux vus des rats de bibliothèques dans les administratifs du service ophtalmologiste de l’hôpital.

Pourtant aux dires du spécialiste m’ayant reçu, après passage forcé d’une longue file d’attente, on aurait dit un VIP avec coupe file d’un parc d’attractions, ma cornée va bien, 10 sur 10 merci pour mes yeux qui n’ont plus qu’à attendre la rémission de la paralysie faciale et gel de larmes toutes les 2h renforcé par la vitamine A pour le soir.

En attendant, je vois trouble comme il semblerait le parti de droite parti en déroute d’une retraite de Russie dont l’un pensait après mois le cataclysme, il ne croyait pas si bien dire.

J’ai la berlue, et pas de Berlusconni, d’entendre dire que, désormais, il serait de bon ton de s’abstenir au second tour.

Chacun sa pêche aux idées, adieu les bonnes leçons de morale reçues hier du style que le vote était plus qu’un droit : un devoir.

Mais, il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis et pourtant j’avais la prétention de penser qu’à droite il n’en manquait pas.

Mais, il faut bien dire que ce virus droitier s’étend à la droite de la gauche.

Ce serait donc mode de s’abstenir ou, pour les plus calculateurs, privilégier l’homme plutôt que la femme chacun son foyer incendiaire.

Ainsi, en France, nous aurions une droite extrême, de tous les extrêmes même puisque capable de reprendre des thèmes prolétariens sans tenir compte de ses penseurs, et une droite du milieu d’un libéralisme qui nous dégagerait de tous les maux ou mots tant le vocabulaire me manque.

Ami banquier, je pense à toi, tu t’en sors bien, c’est ce métier que j’aurais dû choisir au lieu de servir dans l’économie sociale croyant dur comme fer que l’adjectif était le sujet principal de l’affaire, quelle entourloupe.

Bien entendu, aucune consigne de vote puisque désormais c’est bien acquis, qui profite toujours, nous sommes libres, adultes indépendants de nous-mêmes ; à nous de jouer et prétendre exercer notre rôle de citoyen. Aux armes les…

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