Belle terroriste
Le plus bizarre, c’est que son statut lui valait une garde rapprochée plus lourde qu’auparavant.
Mais, celle qui n’était sans doute pas née avec une cuillère en or dans la bouche, a préférée utiliser celle de la cantine pour se tirer.
Toutefois, les bonnes vieilles méthodes d’avant ont leurs limites que les radars ont su décelés à temps pour l’honneur de la justice.
L’homme qui s’est pris une veste à son dernier procès rappelle qu’il préfère les costumes de bonne mesure.
Les jurés vont-ils l’entendre et le comprendre.
Son épouse soupçonnée de n’avoir pas travailler pour lui entend bien désormais qu’elle n’est pas rester sa potiche sans rien faire.
On en rigole dans les beaux quartiers.
La lecture d’un roman policier, dont j’aurais sans doute intérêt à vous en reparlez dans d’autres colonnes, s’est brusquement arrêté sur le moment de la recherche du « meurtrier ».
A cet instant de ligne, tout le monde comprend bien qu’il peut être de n’importe quel genre.
Et, cela ne semble poser aucun problème si ce n’est le doute de savoir avant le terme du livre.
Or, si l’écriture inclusive devait s’imposer il faudrait écrire « meurtrier-ère ».
Cela ne nous amène à rien de plus qu’une certaine lourdeur de phrase même si l’habitude permet d’en passer outre.
Mais, un point me turlupine pourquoi les adorateurs idolâtre du féminisme jusqu’au boutisme font l’impasse sur les personnes se réclamant sans genre ? Faudra-t-il ajouter un X au terme ou considérer que le tiret les désigne aussi sincèrement qu’une lettre ? Peut-être mais cela ferait mauvais genre, ne trouvez-vous pas ? Le pays qui ne sait pas comment agir contre la horde migratoire organisée par son voisin ayant affrété des avions pollueurs, a l’idée de construire un mur comme naguère la France la ligne Maginot, malin non ?