Avoir 66 ans et être fauché

Partir à la retraite à 66 ans pour un cadre, ce ne doit pas vraiment être un grand souci si le poste n’est pas galvaudé.

Mais, surtout une mesure est de mise : obliger les patrons à conserver leurs vieux jusqu’au bout.

C’est à eux de les manager pour qu’ils puissent être utiles, performants jusqu’à la fin des fins.

Cela éviterait de pénaliser ceux qui n’ont pas fait d’études et les ont remplacées par un temps de travail plus précoce.

La ministre des transports a des souci sur l’air et dans les routes avec son obligation de taxer plus fortement l’énergie utilisée afin de satisfaire l’autre partie de son ministère qu’elle a chopé à son ancien camarade démissionnaire retourné sur les bancs de l’Assemblée.

Mais, si elle se conduit bien, elle devrait avoir suffisamment de points pour éviter une sortie de route mal entretenue.

Amusant, si le mouvement des gilets jaunes, non terminé, a fait hésiter les touristes dans les beaux quartiers, ces derniers se sont repliés vers les quartiers les plus populaires.

Juste retour des choses semble-t-il… L’illuminé a profité de la fin du G7 basque pour se faire inviter spontanément en suivi de journal télévisé.

Comme à son habitude, sous couvert de langage direct, style moi je n’ai pas peur de dire la vérité qu’il faut dire, il a détourné l’attention sur la prochaine retraite en projet à venir.

Il a pris tout le monde de court en disant qu’il n’était pas favorable pour un âge pivot de départ – avant décote, après surcote- pour préférer un allongement de la durée de cotisations.

Ainsi donc, plus personne ne pourra lui dire que c’est de sa faute si les personnes part tard à la retraite car elles n’avaient qu’à travailler plutôt.

Il l’avait promis : il favorise le travail car c’est la santé !

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