Les discours volent de toutes parts, aussi vais-je tenter d’y insérer mon petit grain de sel, de Guérande ou Île de Ré de préférence.
Et, je vais même tenter d’être le plus honnête et objectif possible.
Je passerai en conséquence sur la question « peut-on arrêter l’immigration ? ».
Je prends pour acquis le fait que si l’on stoppe ces gens, ils entreront par la ruse ou la force ; il n’y a qu’à regarder en arrière et dans le présent, pour constater les conflits qui en découlent.
Bref, il y a immigration et immigration, il y aura, il faut s’y faire comme vous l’avez fait en prenant quelques coutumes de barbares envahisseurs ou romains par exemple.
Que l’on dise chocolatine ou pain au chocolat, ce n’est pas cela qui empêchera les bambins de prendre leur troisième repas journalier.
Mais quelle immigration choisir ? Les temps semblent clos où officiellement, les gens aisés allaient chercher leurs esclaves sur les territoires encore inconnus où vivaient des sauvages.
Une idée avait cependant germé où il fallait les évangéliser, leur apprendre à lire et à écrire et surtout à obéir aux us et coutumes de leurs envahisseurs.
S’ils étaient gentils, ils avaient le droit de se reproduire.
Mais pas trop, pour éviter les fainéants et rejoindre Pôle emploi qui s’appelait alors autrement.
Il est vrai que de tout temps, les gens de droite aimaient cette main-d’œuvre corvéable à merci ; mais, toutefois, il fallait prendre garde à ne pas fouetter trop fort.
Pourtant, certains d’entre eux, plus à droite, torturés par leur peur ancestrales, avaient déjà soulever la grande problématique du « Grand Remplacement ».
Sans doute, prenaient-ils pour exemple la Révolution française où la légende veut que les serfs aient pris le pas sur leurs maîtres d’alors.
Mais, après (re)lecture, l’on sait bien ce qu’il en est réellement…
