Grâce à mon ami Olivier, j’ai trouvé l’excuse de réécouter avec le temps de Léo. En-dessous la vidéo correspondante, des commentaires.
Parmi l’un qui dit : « Petit, ma mère me disais quand tu seras grand, tu comprendras.
J’ai grandi, j’ai compris ».
Moi, d’aujourd’hui, j’avoue ne pas avoir encore compris.
Il m’en faudra sans doute encore beaucoup de temps.
Avec le temps le gouvernement prend ses décisions selon le sens du vent.
Le temps du quoi qu’il en coûte semble (de)passé.
Ainsi donc la primauté est à la santé.
Il faut à tout prix sauvegarder les personnes sensibles nettement plus faibles par rapport au Covid que les jeûnes sains d’esprit et sans doute de corps.
L’âge pour rappel en mémoire, n’est qu’un critère parmi d’autres.
Mais, alors pourquoi donc, ce gouvernement qui nous aime tous bien, a tenté drastiquement de réduire sa première liste de sensibles ? Il a fallu le tenu bon quoiqu’il leur en coûte d’un combat judiciaire d’une association (lire en cela l’article, comme toujours, intéressant du dernier Risk-Assur-hebdo) qui a réussi le tour de force de faire invalider le texte rectificatif là où les crâne d’œuf, sans grand chose non plus en interne, n’avait rien compris.
Mais, pourquoi les mêmes têtes d’œufs, véritables jumeaux en le n’importe quoi, autorisent, les bras grands ouverts, les personnels de santé de venir travailler tout en emportant avec eux la Covid, du moment qu’ils sont asymptomatiques.
L’on sait tous, du moins avant l’arrivée de la Covid, que les seniors devaient encore plus que les moins qui le seront certainement, faire du sport pour passer leur vie en meilleurs santé.
Or, à ce jour, l’accès des salles de sports leurs est interdit sauf pour les jeunes mineurs qui eux aussi en ont bien besoin.
Où allons-nous ? Pour nous distraire, la responsable de la Brigade des maires s’est fait virée car elle a témoignée d’avoir été menacée de mort.
Ainsi ce type de menace, vaut peine de licenciement pour faute de défense de la laïcité.