C’est-à-dire des juges qui pensent comme lui, objectifs, quoi.
L’homme désire conserver les avantages d’ancien président, mais rester simple citoyen pour le reste sauf pour vanter ses bouquins.
Il y a pourtant rien à dire.
Les jeux sont faits.
L’avancée du nouveau devenir est l’apogée du commerce en ligne.
Si nos commerçants en boutique du coin de rue commercial ne comprennent pas, ce ne sont pas seulement leur devanture qui est en jeu.
Qu’on se le dise, les français consommateurs veulent consommer comme ils l’entendent.
Déjà il y a seulement une décennie, ce lambda acheteur aimait à se ressourcer dans ce lieu de passage qu’était, et l’est encore, le « petit arabe » du coin ouvert jusqu’à pas d’heure.
Déjà, les petits commerçants râlaient en affirmant la concurrence déloyale de tenir magasin à plusieurs.
Mais, seuls les enfants ont compris et ont pris la poudre d’escampette lorsque leur tour de la reprise fut venue.
Pas question de ces horaires chamboule-tout même si le revenu était bon.
Ils avaient une autre vie eux.
Mais, si la situation est morose, la Covid a mis en évidence le mal souterrain qui les ronge.
Ils doivent pour survivre et vivre se mettre au diapason de la vie.
Et il ont un large avantage.
Celui d’être encore largement présent dans les centres villes et centres de quartier.
Ils connaissent leurs clients et ceux-la les aiment bien.
Il me semble donc pour les réunir que ces artisans boutiquier se doivent de réunir entre eux pour assurer une présence physique et virtuelle.
Ainsi non seulement, ils seraient ouverts H24, comme on dit maintenant, mais encore ils pourront affirmer leur présence en bon service clients, donneurs de bons conseils et un bon suivi qualité coût qui devraient faire revenir leurs clientèle d’animation des rues commerciales.
Reste à faire l’effort de le vouloir vraiment.