Bien sur, l’on comprend aussitôt l’usurpation grâce au terme et c’est capital.
Mais Paris, Washington, Berlin, Moscou et toutes les autres pour être désignées ainsi, n’ont-elles pas été, elles aussi, autoproclamées par leur pouvoir en place ? Qui décide donc de l’existence de la légitimité d’un état, d’une population, d’une race, des êtres humains ? L’état français semble en état, en tant qu’actionnaire, d’auto proclamer qu’il y aura bien un nouveau pilote.
L’entreprise pourra prendre à nouveau de l’aire vers son destin.
Mais, ce nouveau patron admirable, ayant fait ses preuves d’organisateur tranchant dans le lard en toute indifférence, n’a, semble-t-il, pas l’heur de plaire aux autres actionnaires car c’est encore un français dont il s’agit.
Les autres pilotes réels ceux-là voient d’un mauvais œil l’homme plus préoccupé par les comptes que de s’intéresser à la volonté exorbitante d’augmentation.
Les deux parties s’entendent bien pour dire qu’ils ne s’entendent pas sur ce futur patron dont il ne connaît en rien les subtilités en plein vol décidé depuis le tarmac.
Ce dernier est donc bien miné.
Mais, dans son sac à malices, il a la réputation du masque à bien négocier.
Une piste d’élan serait d’accorder à la catégorie la plus forte ce qu’elle veut moins une bonne dose de rabais en ces temps e soldes de printemps.
L’autre de nommer un vice quelque chose pourvu qu’il, ou peut-être encore mieux, elle soit de nationalité de l’autre gros actionnaire.
Bon, sans, mais c’est bien sûr, s’il s’agit du genre féminin, il y en aura pour dire que c’est une potiche.
Pas vraiment habile, mais l’on ne sait jamais car il faut toujours savoir sortir d’un conflit.
Mais, désormais, ce ne sera pas ce curé qui stratifiera l’union sacré lui que ces supérieurs ne supportent plus depuis une circulation de vidéo le voyant châtier le nourrisson dont il était chargé de sacraliser le baptême.