Au secours l’extrême est encore là

La cheffe parricide protectrice des chats aimant les jeunes nouveaux décide de faire table rase de son passé.

Et puisque son parti est elle, elle fait table rase des grandes idées qui la glorifiaient au temps où elle déclarait qu’elle était fille à papa d’extrême droite.

Si elle continue, elle va bouffer la gauche comme son ancien parti a mangé les ouvriers qui s’étaient hébergés au Parti communiste lors de leur temps glorieux.

Mais elle ferait mieux de regarder à sa droite ainsi libéré comme un leurre.

Sauf lui n’en est pas un.

Juste un bonimenteur bien aimé pour son audience télévisée montante renforçant la richesse du propriétaire de télévision.

C’est un haineux, qui n’aura pas de mal à faire mal.

Il est né pour ça, il est fait pour ça.

Elle peut le craindre car ça n’a jamais été le grand z’amour entre eux, même s’ils ont chauffé les mêmes mauvais gars.

De toute façon, ces gens n’ont pas grand-chose à craindre.

Être dans cette posture d’opposant d’extrême droite leur sert d’auberge protectrice.

C’est là qu’il leur fait chaud.

Ils y ont gîte et couverts.

Ils peuvent recevoir qui ils veulent, à gogo.

Mais, s’ils devaient aller dans le marigot d’être élu.

La donne changerait et les incapables responsables devant leur électorat serait à griller sur une chaise encore plus musicale d’un faux air de vraies vestes brunes.

Pour la gauche, le vrai souci, à part eux même comme tous gens de politique, est que la bataillon d’électeurs ouvriers a déserté lorsqu’ils ont vu le PC incapable de répondre à leur attente d’ordre et de discipline.

Car lorsque l’on a rien, il faut que cela paraisse juste.

Et seul l’ordre établi peut donner le change d’une vie méritée d’un long fleuve tranquille.

Mais, si les riches, les politicards vont trop loin à ne cesser de leur jeter des cailloux au lieu du ruissellement rêvé, alors ils sortent de leur lit…

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