Aujourd’hui, dans certains milieux qui s’autorisent, on ne peut plus dire « on pédale dans la semoule ».
Chez les de droite extrême, il faut dire « on pédale dans le yaourt » car cela fait moins migrant.
Chez les gens de gauche dits extrême – si cela existe encore.
Ce n’est pas encore marginal malgré le décès annoncé d’un ancien acteur rigolo – on utilisera la même expression pour une fin différente puisqu’il s’agira de dénoncer un certain racisme identitaire perçu dans les propos antérieurs.
Mais, les extrêmes régionaux ne sont vraiment pas contents d’être à nouveau isolé.
Il en est ainsi des de l’Est du pays national qui aimait bien le « on pédale dans la choucroute ».
Ça classait pourtant son homme.
Le trublion, ancien bouffon d’un chef qui a désormais la grosse tête, en rigole encore.
Certes il embrasse mal, mais c’est le baiser de la mort qu’il fait surgir.
En réalité, il a pour rôle de mieux identifier ceux qui sont d’extrême droite libérant un espace à la droite extrême pour être remisée, comme il l’a si joliment dit, dans une cabine téléphonique.
Sachant très bien, au passage, qu’elles n’existent plus, du moins plus en grand nombre.
L’illuminé, qui n’avait jamais voulu devenir éléphant dans son premier arrière temps politique, est ravi de voir que cette dynamite va « atomiser le(s) Rn et Lr » désormais réunis pour le pire et que c’est « une excellente stratégie ».
L’on ne sait pas trop si le commanditaire est l’ancien donateur de cet homme, mais l’on pressant que, dans ce jeu de go massacreur, l’ancien président des Lr et la moins aimée des nièces de l’encore cheffe mais plus présidente, rigolent bien en douce de ce pet qui sort avec fracas.
N’en déplaise aux bonnes gens, il va falloir qu’une personne se déclare apte à mettre les mains dans le cambouis pour que la machine ne s’emballe pas si ce n’est à son profit.