Au revoir, toujours là
Bizarrement, elle se disait de gauche et avait même soutenue l’ancienne égérie de l’extrême gauche.
Mais, elle a disparu.
Elle n’avait pas vraiment regretté son éviction d’une célèbre manifestation trouvant que les jeunes filles devenaient trop différentes.
Mais, nous, nous la regretterons comme ayant fait partie d’une certaine France que l’on pouvait détester, mais au moins l’on pouvait encore contester.
Marrant l’objectivité de ceux qui ne jurent que par les VI (Véhicules électriques).
Ils ont testé l’attente aux bornes électriques en ces journées (très) chargées sur les autoroutes.
Tout d’abord, d’après eux, s’il y avait bien embouteillage à l’entrée des aires concernées, c’était uniquement du aux attentes pour pomper de manière traditionnelle l’essence nécessaire.
Néanmoins, il est indiqué en un mot que le turn-over était extrêmement rapide puisque rapidement rechargé, une fois arrivé à la pompe ; le tout ne faisant que quelques minutes.
Et l’article se poursuit en disant que tout se passait pour le mieux Mme La Marquise à la recharge électrique.
Bien sûr, il y avait quelques loupés.
Mais, c’était toujours à cause des utilisateurs pas des bornes ; pourtant un autre essai d’étude informait que le parc ne s’affichait pas toujours au top de sa disponibilité, voire de sa puissance.
Mais, zéro indicateur sur ce point dans l’article sus-mentionné.
Et, pour couronner le tout, l’auteur déclare qu’il faudrait une conciergerie pour : vérifier que l’état de la batterie nécessitait une recharge, arrêter la prise lorsque les 80 % étaient atteint, aller stationner le véhicule sur un autre emplacement pour laisser libre la borne, etc.
Mais, il remarquait tout de même que cela aurait un coût que peut-être les automobilistes n’accepteraient pas ! Et, d’ajouter que si tous les véhicules bénéficiaient de la recharge la plus rapide, ce serait le bonheur pour tous.
Y compris les constructeurs car ils vendent encore plus chers ces véhicules de luxe.
Et pour l’état qui économiserait sur les aides apportées pour changer le parc automobile.
Ce qui ne change pas, ce sont les mentalités.