En effet, parfois, peut-être souvent, peu d’études sur le sujet, avant de le faire encore faut-il en avoir conscience.
Cela s’appelle paraît-il le coming in, toujours forcément en anglo-saxon, tellement cela ne peut être un positionnement à dire en français tout simplement.
Évidemment, c’est plus simple à critiquer lorsque l’on ne se sent pas directement concerné.
Mais, cela doit forcément nous interpeller en citoyen tout d’abord.
S’il est républicain, il ne peut admettre qu’un être finisse emprisonné.
Mais c’est plutôt aux parents, à ceux qui côtoient un enfant et ils sont nombreux, surtout de société.
A ce propos, une encart d’un journal est rafraîchissant.
Il rappelle que l’enfant n’est pas à nous société, mais surtout pas aux parents.
Car avant, l’enfant est à lui.
Il faut donc veiller à ne pas l’enfermer dans une tour d’ivoire.
Et, si c’est plus facile en société avec la diversité forcée, cela l’est moins en famille car toujours rôde le même état d’esprit, la même croyance, la même prégnance.
Sauf peut-être à l’heure de l’adolescence où l’enfant explose pour faire sauter ses chaînes dorées ou d’acier.
Le rôle de parents n’est pas simple, c’est tellement plus facile de se retrancher dans une sphère qui nous semble semblable pour ne pas être interrogé par l’autre.
Mais en faisant cela, on ne facilite pas le travail de l’enfant qui forcément réagi avec plus ou moins de force par rapport à ce qu’il connaît, c’est-à-dire vous parents.
Et, attention, n’allez pas croire pas que de le laisser vagabonder, à l’abandon est une solution.
Au contraire, si son cercle est le néant comment envisager sa construction sur rien.
La claque, même la petite, celle que l’on administre quand tout nous échappe, ne fait rien d’autre à l’affaire que Boum dans la tête de celui qui la reçoit.