Appel : 39 19

D’une lettre changée d’un mot, peut provoquer le pire du jour à la nuit, du beau au lait et l’ordre n’est finalement pas établi.

Ainsi, pour seul exemple voit-on ange se caricaturer en auge qui l’eut cru ? Et que laissez dire après une bonne Suze ?? Forces de l’ordre, répondez proprement aux appels à l’aide.

Genre mâle allez voir ailleurs si vos pulsions peuvent se passer.

Mais, mieux vaut pour tout le monde que vous vous fassiez analyser..

A l’unisson, devant cette belle communication, chacun ira de son couplet et c’est ce que je fais.

Mais, après, et pendant, que va-t-il se passer ? Les prises en charges le seront-elles sérieusement.

A-t-on seulement prévu un N° pour que ces malades, car ne vous trompez pas même ignobles ces individus sont de grands malades, puissent confier leur misère et ne plus jamais recommencer.

A-t-on seulement envisagé, le sort funeste des enfants qui devront toute leur vie future venant endurer, porter ce fardeau cette infamie ? Et la famille, les voisins, les amis, les gens bien rencontrés quotidiennement tels ces bons collègues de travail, qu’ont-ils dit, que pouvaient-ils faire et d’ailleurs ont-ils vu, compris quelque chose ? Dites bien à la mère battue, si elle est encore en vie, qu’elle conservera tous ses droits vis à vis de ses enfants.

Elle doit rester digne, c’est un grand courage qu’oser dénoncer.

Dites au conjoint, car il n’y a pas que des femmes même si la parité, crassement en l’espèce, est loin d’être respectée, que oui il devra payer devant son acte inexcusable, que oui il perdra ses droits.

Et, lorsqu’ils auront âge de décider seuls les enfants pourront dire s’il veulent revoir l’auteur(e) du forfait.

Pendant que je vous écris, que vous me lisez, combien de femmes, d’hommes battus par l’autre, ont osé appeler le 39 19 Faites que ce ne soit pas en vingt (et non vin) !

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