Anti machin

Pour avoir le plaisir de vous écrire et être sûr que vous serez en position de me lire, je m’adresse à mon site préféré qui pour ne pas le nomme est Notre siècle.com.

Bien sûr, nul n’étant prophète en son pays et plus encore sur la toile, j’essaie, à chaque fois que j’y pense de vérifier si mon envoi est édité conformément à mon intention.

Or, parfois, mais pas tout le temps, allez comprendre tout cela, la photo dont je vous assomme et illustrant parfaitement mes dires souvent au quatrième degré, n’apparaît à mon écran.

Épouvanté, de tant d’outrage audacieux à mon encontre, j’en appelle à mon rédacteur en chef préféré que cela n’amuse guère (NDLR : si, il répond toujours de bonne humeur et apprècie tes articles).

Va voir ton plugin antipub et déconnecte le truc histoire de voir que je n’y suis pour rien dans cette histoire.

Et, bingo, après plusieurs manipulations de ce service à a portée de toute tête existante, et par conséquent non noble, la bien belle superbe image fait son apparition.

J’en fait part à qui de droit, déjà évoqué plus haut en amont, qui, sans m’en tenir rigueur, me fait part aussitôt presto des très intéressantes limites de ces machins qui sont tout de même bien sécurisantes lorsqu’ils flanchent.

Merci, monsieur est bien trop bon, mais j’ai comme un doute car si ici, la faiblesse du système pris en faute ne porte aucune conséquence préjudiciable si ce n’est ce billet dont on se demande bien pourquoi l’écrire, le publier et le lire, que penser de ces machineries soi disantes capables de remplacer l’homme qui l’a créé si elles sont aussi fiables dans, par exemple, une activité aussi anodine que le nucléaire… que la machine soit plus bête que l’homme pourrait bien me rassurer, mais qu’en est-il de celui qui l’a créée et domptée ?

Ne serait-il pas un peu lui aussi bête, voire plus bête qu’elle puisqu’il s’escrime à persévérer dans sa folie révélatrice de recherche de grandeur quand ce n’est pas gloire et argent faisant sa fortune de tout instant.

Bon, j’ai en fin de compte, un grand énorme doute sur mon compte : ne suis-je pas en vérité un utilisateur bien loin d’être à la hauteur de tant de splendeur qu’est le progrès progressant sans cesse…

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