Anika de Étienne Chapas chez Panthéon

Ça part direct. Vous êtes rapidement mis dans le bain dans cette aventure où l’on ne voit pas trop bien où cela va nous amener ; ce qui fait le sel de ce livre. L’écriture est vive, rapide.

Peut-être un peu de trop, ce qui explique une lecture rapide pour éviter d’en perdre le fil. Mais il y a trop de personnages, incertains car non présentés, ce qui ne facilite rien même si l’auteur a pris la peine en première page d’inscrire les coordonnées des intervenants.

t cela dure… toutefois, il semble que petit à petit le rythme soit moins élevé, sans doute l’écrivain un peu fatigué de toutes ses sorties.

Ou bien, le lecteur s’est-il habitué ; prendre on souffle et durer dans ces voyages l’emmenant aux quatre coins du monde en oubliant toutefois l’Asie mais en pensant aux cartels.

Et si la fin justifie les moyens, ici elle justifie le titre de l’ouvrage…

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