Alors, quoi faire ?

Il a bonne figure dans son marathon de représentation d’un parti en marche qui se perd – bien qu’il parle un peu trop de « moi, je », et, pourtant, il est dans une grande phase de pure modestie.

Peu lui chaud que ses ami(e)s d’alors prennent tous le train en marche de la droite extrême.

Peu lui chaud que la violence des forces de l’ordre corresponde à une violence des cités.

Il est encore en poste, donc il tient ce qu’il peu.

Il fait des propositions pour concrètement aider les ménages les plus précaires.

Pour lui, cela correspond à 350€ par ménage.

C’est sans doute ce qu’il appelle le ruissellement ; d’autres déjà parlaient de saupoudrage.

Mais aucune réelle mesure pour éradiquer cette situation explosive.

Il est assez bizarre de constater que pour le travail l’on est vieux dès 50 ans et toujours jeune à 35 ans pour rester au chômage.

Il semblerait que tout le monde soit d’accord sur le non intérêt des baisses de salaire, non pas pour un bien être social, mais seulement parce que ce serait une hérésie économique propre à vous faire rater votre diplôme de haute école à qui vous feriez honte.

Mais, les patrons veulent conserver leurs habitudes d’apprentissage.

Alors, comment lier les deux mon capitaine ? Tout simplement en défiscalisant les heures supplémentaires, c’est déjà fait mon capitaine, et en allégeant sensiblement les charges patronales.

Qu’économiquement, cela veut dire moins d’aides sociales devant des caisses trop vides entraîne un raisonnement économique trop poussée dans le temps pour qu’il soit question d’en parler maintenant.

Bien entendu, l’augmentation des impôts est une affreuse idée en loup de mer de la gauche qu’il ne faut surtout pas resurgir.

 Mais dans un monde où un qui venait d’un gouvernement encore de gauche se fait nommer par toute la droite au poste suprême et le confirme en nommant un gouvernement de centre penchant fortement sur cette droite non représentative des idées de gauche, l’on ne peut pas trop s’étonner que désormais le parti en marche est parti sur les plates-bandes droitière tout en devenant un parti supplétif.

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