Il disait que trop d’inégalités tuait la croissance. Mais il n’est pas allé jusqu’au bout du chemin de sa pensée, cher homme de droite libérale dure.
En effet il aurait pu dévoiler quel était pour lui le niveau acceptable d’individus trop pauvres.
C’est un peu comme pour le chômage, au-dessus de 4-5 %, cela devient un coup qu’il faut obliger les paresseux à travailler ou alors leur couper les vivres.
En deçà, c’est se garantir pour la volonté patronale, de toujours jouer avec la variable flexible des postes à rester ou dans u vrai élan des postes à pourvoir.
L’État est beau, l’État est grand.
Il vient de déverser quelques petits milliards pour soutenir la voiture en général, Renault international en particulier.
Une fois acté, ce dernier se presse de déclarer qu’il va virer quelques 5 000 postes.
C’est cela leur réalité patronale.
Quand au plan à milliards d’euros, ils consiste également au quidam ordinaire d’acheter une beau véhicule électrique moyennant prime surévaluée atteignant 7 000€.
Les hybrides rechargeables, mais pas les autres, se contenteront de 2 000€.
Et, lorsque l’on voit le prix des belles, le quidam ordinaire se dit qu’il va peut-être conserver son beau diesel pour lequel il avait accepté une certaine aide puisque les électriques sont vraiment hors de portée.
Même lorsque ladite aide était à 10 000€ – ha bon ? – l’achat se faisait petit, petit.
Un qui se croyait suffisamment grand pour jouer au clown triste Auguste réussi à se faire censurer par une entreprise de réseau social.
Se pose la question des sociétés plus fortes que les états.
Les nouveaux gouverneurs de la planète se lèvent pour prendre le pouvoir ou du moins au grand évincer les têtes politiques qui ne leur plaisent pas.
Au revoir la Démocratie, bonjour le totalitarisme.
Mais, l’on s’apercevra peut-être trop tardivement, que si la démocratie est pleine de défauts, elle n’en est pas moins génératrice de libertés.
Futur je te désire et t ‘aime !
