Ainsi vont les choses de la vie

La France est en deuil national, ou plutôt en deuil régional pour l’île de France, ou plutôt pour sa capitale Paris, mais plus sûrement pour son arrondissement du XVIII° limité à son quartier historico-touristique qu’est Montmartre.

L’on ne se limitera pas à sa rue, tant il était estimé par ses voisins.

Oui, les riverains sont en deuil, frappé qu’ils sont de constater qu’on a enlevé pour toujours la partie bleue de leur drapeau.

Lui qui faisait de Paris un carnaval de sosies muliticolre n’en avait qu’une de couleur.

Voilà, il est parti.

Mais le bouffon, qui aurait pu être Poulbot s’en est allé et il avait pris le parti qu’après lui n’existerait plus son œuvre, son cabaret.

Sera-t-il suivi ??  Une escroquerie pour code de (mauvaise) conduite autorisait des défavorisés (illettrés, immigrés, etc.) à l’avoir moyennant 1 500€ en cash.

Il sont été pris la main dans le code de mauvaise conduite et devront repasser le bon dans les conditions normales.

Ce n’est pas gagné d’avance.

Mais ce qui est bel et bien perdu, c’est l’argent versé par les fenêtres d’une confiance donnée trop largement.

Au siècle avant le dernier, une ville nouvelle était crée dans le Val d’Oise, nouvelle Préfecture remplaçant celle se trouvant dans la capitale du Vexin français.

Il était visé que les habitants devaient travailler sur site et que leur nombre serait de 400 000 au siècle prochain.

Quelques décennies plus tard la population est de 204 228 âmes qui vivent.

C’est déjà la cohue, et les riverains connaissent bien les allers-retours pour Paris et sa banlieue chargée d’autres emplois.

Le Transilien, lui, sait bien les allées-venues de chacun pour aller d’un endroit à un autre pour travailler et revenir à leur point de départ pour y dormir.

Ils sont beaux ces beaux parleurs incapables de prévoir et de toujours considérer, pour s’en sortir, que les promesses n’engagent que ceux qui y croient.

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