Mais, surtout dans la grande consommation, l’un a tiré le premier sans être pour autant un anglais, mais simplement un breton de souche.
Ainsi, le patron de ces indépendants franchisés faisait son beurre en mettent en ligne un comparateur de prix.
Et, il pouvait dire qu’il était le moins cher que ses concurrents directs régionaux.
Et, à l’entendre, il pouvait étendre cette prétention nationalement.
Mais, voici un concurrent qui ne veut pas se contenter que sa clientèle ait l’impression que c’est lui le moins cher.
Il a fait son propre comparatif.
Et, en y incorporant ses produits sous sa marque propre, il déclare qu’il est le N°1.
Comme aucun, ne fournit son mode de calcul, l’on pourra y penser ce que l’on voudra.
Ainsi, chez l’un vous irez pour acheter les produits de la marque distributeur et chez l’autre pour chercher les grandes marques.
Pas certain que vous y gagniez.
Mais les producteurs d’énergie essentielle se frottent les mains de tant de déplacements.
Les grands sachants d’hier sur la guerre de l’Europe de l’Est sot honteux d’avoir tort sur le sort de celle-ci.
Alors, ils sont rapidement remplacés par des sachants d’aujourd’hui sur la même guerre à visage différent.
Mais, rassurez-vous, ces derniers sont très forts pour une analyse a posteriori comme l’avaient fait leurs prédécesseurs.
Ainsi, les (faux?) journalistes s’emportent-ils de rage de savoir que les troupes du tsar n’hésitent pas à tirer sur les déserteurs ou sont qui ont tout simplement peur d’avancer.
C’est faire preuve de perte de mémoire collective pour ne pas se rappeler la conduite française lors de ses dernières guerres sur notre sol.
Mais, ne tirez pas sur eux ; il faut vraiment apprécier leur savoir qui leur permet de radoter sur tous les sujets à portée de tir.
