A menteur, menteur entier

Les gens de notre constructeur auto national ont réussi à faire démissionner leur chef patron qui s’est fait éjecter de son poste d’empereur auto d’ailleurs.

Et en plus, ils ont l’intention de nommer eux-mêmes celui qui dirigera en prenant les rênes de cet autre national du pays du soleil levant.

Mais ses habitants ne l’entendent pas de cette oreille sourde qu’ils sont à la lecture d’une convention signée jadis entre les deux.

Un footballeur, considéré parmi les plus grands si ce n’est LE, ne peut plus courir après la balle.

Ses supporteurs en ont le souffle coupé.

L’illuminé nous prend pour des quilles et nous assène ses vérités qui restent vraie le temps d’un discours.

Il s’était glorifié d’avoir obtenu de la Cee une autorisation provisoire d’un produit chimique campagnard dont tout le monde se doute bien des dégâts qu’il cause mais que personne n’ose mettre en cause légalement tellement il empoisonne les finances de l’agriculture moderne.

5 ans au lieu de 15, c’était toujours cela de gagné, il pouvait faire cocorico droit dans ses bottes du haut de son tas de fumier.

Le Hérault des gaulois avait parlé et c’était vrai.

Au jour d’aujourd’hui qui est un autre jour, il assure, dans un de ces débats qu’il affectionne, que ceux qui veulent, maintenant là tout de suite, la mort de ce produit, veulent la mort des agriculteurs qui s’en voudraient à mort de ne plus utiliser ce poison pour fertiliser nos sols.

Remarquez, l’on met bien des couches allergènes au bébés sans que ces derniers manifestent en jaune, alors pourquoi pas ? En conséquence dans son langage vrai qui change jour après jours, le produit ne disparaîtra pas.

C’est une peu, beaucoup, à la folie comme les centrales nucléaires que l’on devait fermer et que l’on ne fermera pas ou ces centrales pour prisonniers qu’on galère à rénover pour ne plus faire rougir l’homme épris de liberté.

Ceci dit, avec de grandes précautions, cela se soigne docteur…

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