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Jusqu’à quelle point l’on peut s’opposer à son patron ?

Jusqu’à ce que la force ne soit plus avec toi et ce n’est pas l’ancien fer de lance de l’automobile française qui dira le contraire.

Tiens vous avez noté, tout d’un coup l’un, que dans ses pubs l’enfant trop sage d’être mignon enfermé dans son intelligence avait été avantageusement remplacé par un robot répétitif , mais ça l’on pouvait comprendre, qui lui-même a fait place à une jeune jolie madame, ou mademoiselle, excusez-moi si cela est possible, dont la seule fonction semble être de tenir le manche tellement cette belle auto présentée est facile de maniabilité.

Que changement de patronyme suffit à se refaire une virginité, elle l’a bien compris la belle, remise à flot pour un tour, de trop ? Comme les as du marketing.

Et avant même qu’il soit effectif, un ancien ministre d’un ancien gouvernement clame droit dans ses bottes trop grandes pour lui qu’il faut aller au rassemblement annoncé.

Âme charitable ne désespère jamais devant une main tendue.

Heureux d’entendre, au cours d’un reportage sportif, d’un consultant habilité « judiciable » vite repris par le journaliste qui tente le suivre « judicieux ».

Il y a aussi justicieux, mais justiciable c’est mieux, même si c’est plus cher.

D’accord, on ne peut pas tout savoir, ni en conséquence connaître, à chacun ses compétences, l’un la pédale, c’est de vélo dont il s’agit, l’autre le vocabulaire et ainsi va la paire pour nous plaire.

Une pub en mailing de courriel qui me propose de recevoir ma tablette avec une revue hebdomadaire ; à moins que cela ne soit le contraire Vachement sympa, je suis convié par la politique de faire autrement, à un Coding apéro ont je ne sais pas trop ce que c’est bu que je n’ai pas l’avantage de parler le député national, tant pis !

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