A la bonne votre…

En fin d’après-midi, la chargée de la santé, bonne ou mauvais, de citoyens de la nation (pour la santé de la nation, c’est l’illuminé qui s’en occupe) a annoncé que le virus asiatique de Chine n’était pas perceptible ici bas dans notre cher pays qui a connu la ligne Maginot et la frontière stoppant net Tchernobyl.

Ni une, ni deux, à la sortie des journaux, non à la solde du pouvoir puisque nous sommes en Démocratie selon certains dires avisés, 3 cas cas d’atteints de français situés en France ont été confirmés par ces médecins qui auraient du, décidément, se mettre totalement en grève au lieu de mettre Madame en porte-à-faux ministériel.

A quand la passe à dix du bonneteau gouvernemental ? Cela s’est passé il y a très peu : hier.

La séparation est assumée, ces deux là se sont envoyé en l’air se reprochant mutuellement ce qu’ils aimaient tant naguère chez l’autre.

Leur contraire a fini par les éloigner peut-être pour une nouvelle joute finale.

A voir… Dans mon quotidien hebdomadaire préféré, lis un titre « Faut-il avoir peur de la police ? » avec encart plastronné sur la 1ère de couverture.

Déjà, moi, rien qu’à la vue de l’annonce titrée, je tremble non de froid mais de peur qui me donne froid dans le dos.

Où on lit que c’est de manière délibérée que l’on a écarté les forces spéciales dans la gestion des foules menaçantes et violentes, l’utilisation de tirs volontaires de LBD et la minimisation au possible des écarts douteux de comportements réalisés à l’insu de leur plein gré par des jeunes non formés qui, peut-être, sans doute, s’ils n’avaient pas été sous l’uniforme, seraient restés sagement assis sur les marches des escaliers en panne d’ascenseur social de leur cité construite provisoirement pour 60 ans.

Perso, si l’on regarde autour de nous, pas un seul pays démocratique englobe cet ensemble d’arsenal que l’on a pu découvrir chez es voisins éloignés actuellement menacés de virus mortel qui n’a rien à voir avec notre affaire comme un certain discours décalé de l’illuminé se rappelant des camps disparus, sauf de nos mémoires.

Ceux qui se moquerait de l’expression utilisée «  quotidien hebdomadaire » se détourne de leur sourire narquois.

Aucune faute, ni erreur dans ce vrai-dit.

Effectivement cet hebdomadaire me suit tous les jours que semaine fait notamment grâce à un suivi assidu et astucieux de nouvelles via internet qui ne cesse de nous prendre dans sa toile de plus en plus étendue : ne sentez-vous pas les fibres vous envahir ?

Quitter la version mobile